Ce mercredi 28 février, nous avons franchi la frontière norvégienne pour atteindre le point le plus au nord de notre voyage.
Première étape : Bugøynes. C’est un petit village situé dans la partie nord-est de la Norvège, pas très loin de la frontière avec la Russie au bord de la Mer de Barents, qui fait partie de l’Océan Arctique . Ce village de pêcheurs offre des paysages pittoresques et correspond parfaitement à l’idée que l’on peut se faire d’un tel environnement avec la mer turquoise foncée, des camaïeux de gris envoûtants, les plages et oiseaux arctiques, les petites maisons multicolores et le vent glacial qui balayent les rues gelée.









Sur la route nous avons vu des rennes en liberté, un élan, une perdrix blanche (aussi appelée Lagopède des saules), et même deux phoques qui se prélassaient sur un rocher !






Nous nous sommes ensuite rendus à Tana Bru pour faire une balade en traîneaux tirées par des chiens, les binômes se forment et nous voilà partis ! Conduite souple (ou pas), freinages plus ou moins francs, une ou deux presque gamelles et nous glissons dans la toundra du Finnmark sur les traces des mushers des grandes courses de chiens de traîneau.
Il faut savoir qu’il n’existe pas un seul et même chien de traîneau. Plusieurs races sont capables de courir et chacune possède des caractéristiques qui lui sont propres. Le husky sibérien, le husky d’Alaska, le malamute d’Alaska, le samoyède ou bien le chien du Groënland sont ainsi utilisées pour leurs capacités propres, en tout cas un point commun : leur impétuosité et leur désir inné de courir plutôt que de rester immobiles.







La journée s’est ensuite terminée par le maintenant traditionnel sauna avec bain de neige, pour certains, et un bon repas fait maison, au menu sauté de renne : poronkäristys.
Entre temps nous avons initié toute la famille au rami !





